2001 Pensées et Citations Qui Dynamisent
Voici des idées pour croquer la vie positivement
2.9.08
La vie est trop courte, créons nous de bons moments...
LA BOITE A CARESSES
L'auteur de ce livre met certainement en pratique cette idée.
Vous trouverez dans "La boîte à Caresses" des pistes pour vous rendre et rendre à votre entourage la vie plus agréables.
Profitons- en!
L'auteur de ce livre met certainement en pratique cette idée.
Vous trouverez dans "La boîte à Caresses" des pistes pour vous rendre et rendre à votre entourage la vie plus agréables.
Profitons- en!
5.11.05
Ce fut un grand moment!
Les 500 Choristes accueillent une marraine d'exception : Céline Dion500 choristes venus de l'est de la France et réunis spécialement pour l'occasion sur une immense scène, accueilleront les plus grands noms de la chanson et reprendront avec eux les plus beaux morceaux du répertoire français et international, sous la houlette du chef de choeur, Jacky Locks. TF1 nous propose un spectacle époustouflant et vibrant qui rend hommage à toutes les chorales de France avec Flavie FLAMENT en maîtresse de cérémonie ! Céline DION nous fait l'immense honneur d'être la marraine de cette émission ! A ses côtés, un invité prestigieux : Johnny HALLYDAY qui sera à son tour le parrain de la prochaine édition. De nombreux autres artistes ont également répondu présents, heureux de pouvoir mêler leur voix à celles de 500 choristes : Garou, Patrick FIORI, Isabelle BOULAY , Serge LAMA, Roch VOISINE, Amel BENT, Marc LAVOINE, Mimie MATHY, Julie ZENATTI, Alain CHAMFORT, Natacha ST PIER. Evénement ! Céline Dion et Johnny Hallyday en duo pour la première fois !
Je viens d'assister à cette émission où l'on vit chaque fois des supers moments surtout si nous avons étés nous mêmes choristes. On se projette.
Donnez- moi vos impressions! Vous y avez participez? Ce serait chouette de nous faire vivre les coulissent!
Merci à tous!
4.10.05
La sexologie, une histoire d’amour
Sexologue, psycho-sexologue, sexothérapeuthe... Il semble difficile de s'y retrouver. Et pourtant, à qui s'adresser en cas de soucis.? Nous vous proposons de renconter l'homme de la situation, le médecin sexologue. Rencontre.
Jacques Waynberg, sexologue
Jacques Waynberg est médecin. Mais un médecin peu ordinaire. Il est sexologue. Son curriculum vitae est des plus étonnant car sa formation est d’une richesse étonnante. Médecine (légale), droit (criminologie), une licence en sciences et lettres, un diplôme de Sciences Po et bien entendu des formations en sexologie auprès des maîtres en la matière. La Fondation Masters & Johnson et l’Institut Kinsey aux Etats-Unis en l’occurrence.
"Je suis sexologue par vocation !" précise-t-il.
Le Dr Waynberg est également directeur du diplôme universitaire "Sexologie et santé publique". Il a fallu 20 ans pour passer de l’amateurisme à l’enseignement".
Il a encore une consultation (et la seule gratuite…) à l’hôpital Saint-Louis à Paris.
Dernier point et pas des moindres, il est précisé dans son CV qu’il "prône une approche humaniste de la fonction érotique". D’où son implication auprès d’ "exclus" de la sexualité, les handicapés, les seniors… Rencontre.
Sexe et contexte
Avant de parler de sexologie, il est important de planter le décor. "La sexualité s’inscrit dans un univers très complexe encore imprégné de pratiques et croyances religieuses. Et là, force est de constater que toutes les religions monothéistes convergent et tendent à verrouiller les pratiques sexuelles. Reconnaissons qu’à l’époque, l’avenir des sociétés au travers de la sexualité, de la reproduction et des risques liés aux accouchements, était en jeu et que la chose était donc des plus sérieuses."
L’après guerre et les années 50 consacrent aux Etats-Unis d’abord, puis plus tard en Europe, l’avènement de ce que l’on appelle désormais la sexologie. Les rapports Masters & Johnson et Kingsey ont révélé au grand jour nos pratiques sexuelles. S’ensuivront, selon Jacques Waynberg, les "trente glorieuses" de la sexologie, Mai 68, la pilule et la "libération de la femme" aidant.
Arrivent enfin les années 80 et "deux catastrophes" dixit le Dr Waynberg toujours, Reagan en 80 puis le Sida en 82 : "Le premier, ultra conservateur a freiné les financements des enseignements et des recherches en Amérique du Nord en sexologie, le second a freiné la liberté des pratiques".
Pour parachever le tableau, Jacques Waynberg ajoute encore qu’ "il ne faut pas occulter l’olympisme, cette fâcheuse norme sociale, qui régente bien trop souvent la pratique sexuelle de nos jours". Ou l’hégémonie de la performance à tout crin et surtout à tout âge, ce que d’aucun dénommeront encore le "culte du jeunisme".
Une relation d’humain à humain
Ça c’est le contexte.
Reste ensuite que la sexualité est aussi une affaire… de couple.
Un couple qui se débat entre revendications individuelles, évocations religieuses et contraintes sociales. L’affaire n’est pas gagnée !
"Qu’on foute la paix aux gens !" répond le Dr Waynberg. Il aime encore à dire "qu’il faut en finir avec la manipulation sociale, qu’il faut prendre du recul par rapport à la force de son injonction et qu’il ne faut pas perdre l’essentiel de vue :"quand on parle de sexualité, on aborde une question qui touche à la relation d’humain à humain… "
Et quand l’âge s’en mêle…
"Dès la cinquantaine, des composantes d’ordre biologique que l’on ne peu nier apparaissent naturellement comme l’andropause, qu’on l’accepte ou pas. Cela concerne la moitié de ma clientèle. C’est donc bien une réalité !"
Ceci étant, et foi de l’échelle de Waynberg, à 50 ans, 5 % seulement des individus ont des problèmes graves, des troubles endocriniens, des cancers…. Ensuite, et cette statistique augmente de 1 % par an. C'est-à-dire qu’à 55 ans, 10 % des individus sont concernés, 15 % à 60 ans, etc… "Si on avait dû dépasser ces 5 % de médicalisation, l’homme aurait disparu !" relativise J. Waynberg.
Une histoire de couple
Va pour l’aspect physiologique des choses. "Un homme a des problèmes dès lors qu’il commence à se faire engueuler" affirme le Dr Waynberg. Quand on vous dit qu’il s’agit d’une affaire de couple…
"La cinquantaine, et Dieu sait que le sac à dos est lourd à cet âge là, c’est l’âge idéal des vengeances… Et les femmes ont la mémoire longue.
C’est encore l’âge où il faut savoir se poser les vraies questions. Qu’est-ce que c’est qu’être un homme ? Comment être un homme différemment ?". Enfin, insiste J. Waynberg, "Il faut quand même savoir qu’à 60 ans, un couple sur deux ne fait plus l’amour, et que cela n’empêche pas certains d’entre eux de demeurer très attachés l’un à l’autre".
Alors, du sexe ou pas ?
"La question est, et c’est toujours celle que je pose : qui a besoin de votre érection, ou quand il s’agit d’une femme, de quoi avez-vous réellement besoin. Ce n’est pas la peine de donner petite pilule ou de proposer des injections à un homme qui de toute façon n’a aucun désir pour sa femme et vice versa. C’est ridicule. On a beaucoup trompé les gens. On leur a fait croire que la contraception allait les libérer, que les pilules bleues les emmèneraient au paradis de l’érotisme. C’est de la pure démagogie. Car la sexualité, et surtout quand on avance en âge, est une question de chimie et à tout les sens du terme".
Oui, mais quand ça ne marche pas ?
"Et bien il faut consulter, bien entendu. Il est important d’éviter le silence, tout s’aggrave quand l’on feint et qu’on ignore… Cette stratégie de prudence est valable en matière de sexualité comme en matière de santé en général.
"Le premier médecin que l’on doit rencontrer est son généraliste. Et surtout lorsqu’il s’agit de traiter ce que l’on appelle "un accident", une rupture d’habitude : un manque de désir, un problème d’érection, des douleurs… Il est celui qui vous connaît le mieux et avec qui, en principe, vous serez le plus à l’aise pour des confidences quelquefois difficiles et des examens intimes.
"Ce n’est pas toujours facile, car le "médecin de famille" a tendance à disparaître aujourd’hui. Et c’est un grand dommage en l’occurrence. En outre, la féminisation de la profession n’arrange pas forcément les choses, le poids des représentations parentales inconscientes est parfois un frein…"
Qui de l’urologue réputé médecin des pannes sexuelles. Là, Jacques Waynberg s’agite. "Ils n’ont pas de culture érotique et en matière d’érection par exemple, il y a 80 % de médicalisation abusive. Il ne s’agit pas de faire de la plomberie. Ce sont des techniciens, des chirurgiens de la prostate. La preuve, affirme-t-il encore, il ne verra la personne que seule…"
La sexualité est une affaire de couple, n’est-il pas?
Un sexologue, s’il vous plaît
Reste le sexologue. "Je reçois les couples si possible… Une fois sur deux, il y a rétablissement, souvent grâce à l’acceptation, de l’autre, de l’âge… Quand le couple est juste recomposé, c'est-à-dire à un moment où l’érotisme pèse de tout son poids dans cette nouvelle relation, l’urgence est plus forte bien entendu. Mais aujourd’hui, nous avons les moyens de les aider, avec les fameuses pilules bleues par exemple".
Mais, qu’est ce qu’un bon sexologue ? "C’est d’abord une personne mature. Car il faut une certaine sagesse pour parler de ces théories, de ces conceptions de l’amour qui ne sont pas forcément sexuelles. Mais habités de poésie, de culture, de raffinement. Toutes ces notions qui sont l’avantage de l’âge".
Et votre rêve, Docteur ? "Mon rêve ? C’est que l’on me consulte quand ça va bien pour être mieux, comme l’on voit son notaire pour optimiser son patrimoine"…
Dr Jacques Waynberg
Institut de Sexologie
57, rue Charlot Paris IIIe
Tél. : 01 42 71 10 30.
Article relevé dans Seniorplanète.fr
Jacques Waynberg, sexologue
Jacques Waynberg est médecin. Mais un médecin peu ordinaire. Il est sexologue. Son curriculum vitae est des plus étonnant car sa formation est d’une richesse étonnante. Médecine (légale), droit (criminologie), une licence en sciences et lettres, un diplôme de Sciences Po et bien entendu des formations en sexologie auprès des maîtres en la matière. La Fondation Masters & Johnson et l’Institut Kinsey aux Etats-Unis en l’occurrence.
"Je suis sexologue par vocation !" précise-t-il.
Le Dr Waynberg est également directeur du diplôme universitaire "Sexologie et santé publique". Il a fallu 20 ans pour passer de l’amateurisme à l’enseignement".
Il a encore une consultation (et la seule gratuite…) à l’hôpital Saint-Louis à Paris.
Dernier point et pas des moindres, il est précisé dans son CV qu’il "prône une approche humaniste de la fonction érotique". D’où son implication auprès d’ "exclus" de la sexualité, les handicapés, les seniors… Rencontre.
Sexe et contexte
Avant de parler de sexologie, il est important de planter le décor. "La sexualité s’inscrit dans un univers très complexe encore imprégné de pratiques et croyances religieuses. Et là, force est de constater que toutes les religions monothéistes convergent et tendent à verrouiller les pratiques sexuelles. Reconnaissons qu’à l’époque, l’avenir des sociétés au travers de la sexualité, de la reproduction et des risques liés aux accouchements, était en jeu et que la chose était donc des plus sérieuses."
L’après guerre et les années 50 consacrent aux Etats-Unis d’abord, puis plus tard en Europe, l’avènement de ce que l’on appelle désormais la sexologie. Les rapports Masters & Johnson et Kingsey ont révélé au grand jour nos pratiques sexuelles. S’ensuivront, selon Jacques Waynberg, les "trente glorieuses" de la sexologie, Mai 68, la pilule et la "libération de la femme" aidant.
Arrivent enfin les années 80 et "deux catastrophes" dixit le Dr Waynberg toujours, Reagan en 80 puis le Sida en 82 : "Le premier, ultra conservateur a freiné les financements des enseignements et des recherches en Amérique du Nord en sexologie, le second a freiné la liberté des pratiques".
Pour parachever le tableau, Jacques Waynberg ajoute encore qu’ "il ne faut pas occulter l’olympisme, cette fâcheuse norme sociale, qui régente bien trop souvent la pratique sexuelle de nos jours". Ou l’hégémonie de la performance à tout crin et surtout à tout âge, ce que d’aucun dénommeront encore le "culte du jeunisme".
Une relation d’humain à humain
Ça c’est le contexte.
Reste ensuite que la sexualité est aussi une affaire… de couple.
Un couple qui se débat entre revendications individuelles, évocations religieuses et contraintes sociales. L’affaire n’est pas gagnée !
"Qu’on foute la paix aux gens !" répond le Dr Waynberg. Il aime encore à dire "qu’il faut en finir avec la manipulation sociale, qu’il faut prendre du recul par rapport à la force de son injonction et qu’il ne faut pas perdre l’essentiel de vue :"quand on parle de sexualité, on aborde une question qui touche à la relation d’humain à humain… "
Et quand l’âge s’en mêle…
"Dès la cinquantaine, des composantes d’ordre biologique que l’on ne peu nier apparaissent naturellement comme l’andropause, qu’on l’accepte ou pas. Cela concerne la moitié de ma clientèle. C’est donc bien une réalité !"
Ceci étant, et foi de l’échelle de Waynberg, à 50 ans, 5 % seulement des individus ont des problèmes graves, des troubles endocriniens, des cancers…. Ensuite, et cette statistique augmente de 1 % par an. C'est-à-dire qu’à 55 ans, 10 % des individus sont concernés, 15 % à 60 ans, etc… "Si on avait dû dépasser ces 5 % de médicalisation, l’homme aurait disparu !" relativise J. Waynberg.
Une histoire de couple
Va pour l’aspect physiologique des choses. "Un homme a des problèmes dès lors qu’il commence à se faire engueuler" affirme le Dr Waynberg. Quand on vous dit qu’il s’agit d’une affaire de couple…
"La cinquantaine, et Dieu sait que le sac à dos est lourd à cet âge là, c’est l’âge idéal des vengeances… Et les femmes ont la mémoire longue.
C’est encore l’âge où il faut savoir se poser les vraies questions. Qu’est-ce que c’est qu’être un homme ? Comment être un homme différemment ?". Enfin, insiste J. Waynberg, "Il faut quand même savoir qu’à 60 ans, un couple sur deux ne fait plus l’amour, et que cela n’empêche pas certains d’entre eux de demeurer très attachés l’un à l’autre".
Alors, du sexe ou pas ?
"La question est, et c’est toujours celle que je pose : qui a besoin de votre érection, ou quand il s’agit d’une femme, de quoi avez-vous réellement besoin. Ce n’est pas la peine de donner petite pilule ou de proposer des injections à un homme qui de toute façon n’a aucun désir pour sa femme et vice versa. C’est ridicule. On a beaucoup trompé les gens. On leur a fait croire que la contraception allait les libérer, que les pilules bleues les emmèneraient au paradis de l’érotisme. C’est de la pure démagogie. Car la sexualité, et surtout quand on avance en âge, est une question de chimie et à tout les sens du terme".
Oui, mais quand ça ne marche pas ?
"Et bien il faut consulter, bien entendu. Il est important d’éviter le silence, tout s’aggrave quand l’on feint et qu’on ignore… Cette stratégie de prudence est valable en matière de sexualité comme en matière de santé en général.
"Le premier médecin que l’on doit rencontrer est son généraliste. Et surtout lorsqu’il s’agit de traiter ce que l’on appelle "un accident", une rupture d’habitude : un manque de désir, un problème d’érection, des douleurs… Il est celui qui vous connaît le mieux et avec qui, en principe, vous serez le plus à l’aise pour des confidences quelquefois difficiles et des examens intimes.
"Ce n’est pas toujours facile, car le "médecin de famille" a tendance à disparaître aujourd’hui. Et c’est un grand dommage en l’occurrence. En outre, la féminisation de la profession n’arrange pas forcément les choses, le poids des représentations parentales inconscientes est parfois un frein…"
Qui de l’urologue réputé médecin des pannes sexuelles. Là, Jacques Waynberg s’agite. "Ils n’ont pas de culture érotique et en matière d’érection par exemple, il y a 80 % de médicalisation abusive. Il ne s’agit pas de faire de la plomberie. Ce sont des techniciens, des chirurgiens de la prostate. La preuve, affirme-t-il encore, il ne verra la personne que seule…"
La sexualité est une affaire de couple, n’est-il pas?
Un sexologue, s’il vous plaît
Reste le sexologue. "Je reçois les couples si possible… Une fois sur deux, il y a rétablissement, souvent grâce à l’acceptation, de l’autre, de l’âge… Quand le couple est juste recomposé, c'est-à-dire à un moment où l’érotisme pèse de tout son poids dans cette nouvelle relation, l’urgence est plus forte bien entendu. Mais aujourd’hui, nous avons les moyens de les aider, avec les fameuses pilules bleues par exemple".
Mais, qu’est ce qu’un bon sexologue ? "C’est d’abord une personne mature. Car il faut une certaine sagesse pour parler de ces théories, de ces conceptions de l’amour qui ne sont pas forcément sexuelles. Mais habités de poésie, de culture, de raffinement. Toutes ces notions qui sont l’avantage de l’âge".
Et votre rêve, Docteur ? "Mon rêve ? C’est que l’on me consulte quand ça va bien pour être mieux, comme l’on voit son notaire pour optimiser son patrimoine"…
Dr Jacques Waynberg
Institut de Sexologie
57, rue Charlot Paris IIIe
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